temps ordinaire - Page 3
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Dimanche 11 août 2013
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Dimanche 4 août 2013
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Dimanche 28 juillet 2013
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Dimanche 21 juillet 2013
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Dimanche 14 juillet 2013
14 juillet : Jour de réparation et d'expiationOffrons à Dieu des prières et des sacrifices pour réparer les innombrables sacrilèges perpétrés par la révolution contre le Très Saint-Sacrement, contre le Saint Nom de Dieu, contre le dimanche, contre Notre-Dame, contre les Saints et leurs vénérables reliques, contre les lieux saints, contre les personnes consacrées... etc.PRIÈRE POUR DEMANDER À DIEU SON DIVIN SECOURS
DANS LES MAUX QUI DÉSOLENT LA FRANCE« Je ne suis qu’un être faible et fragile, et cependant j’ose élever ma voix vers le Dieu de gloire, de grandeur, de puissance et de majesté. S’il n’avait que ces seuls attributs, sans doute le respect et la crainte m’ôteraient la faculté d’oser lui adresser mes voeux. Mais sa clémence, sa bonté, sa miséricorde rassurent mon âme timide et alarmée ; oui, mon Dieu, je vous implore, et en vous demandant votre secours, je sens renaître l’espérance au fond de mon coeur. Ce n’est pas que je ne sache combien je me suis rendue indigne de vos grâces ; aussi n’est-ce pas sur mes propres mérites que je fonde mon espoir, mais sur ceux de Jésus-Christ votre Fils, qui s’est incarné, et qui a souffert la mort pour le salut de tous les hommes.
C’est en son nom, ô mon Dieu ! que je vous demande avec confiance la fin de tous les maux qui désolent la France, le rétablissement de notre sainte religion et celui de l’autorité royale, la tranquillité de mes parents, celle de mes amis, et la possibilité de nous réunir dans notre malheureuse patrie.
Mon Dieu, éclairez les esprits, créez des coeurs nouveaux, et donnez-leur un rayon de votre grâce pour qu’ils observent votre sainte loi. Faites cesser, Dieu de bonté, ces scènes d’horreur et de barbarie qui déshonorent les Français et offensent votre divine majesté. Rendez à chacun son état, ses biens, son existence, et faites que l’ordre se rétablisse et se maintienne. Cela parait impossible aux faibles mortels dont la sagesse n’est qu’illusion et vanité ; mais un seul acte de votre volonté, oh mon Dieu ! opérera ce miraculeux changement.
Seigneur, ne repoussez pas le cri de mon coeur. Mon Père, écoutez-moi ; mon Dieu, secourez-moi. J’embrasse la croix de mon divin Sauveur ; son sang coule encore sur moi. Ah ! ne voyez que lui, n’entendez que lui. C’est Jésus-Christ qui tous les jours s’immole pour nous ; c’est Jésus-Christ qui ne veut point la mort du pécheur, mais qu’il se convertisse et qu’il vive ; c’est ce fils adorable qui vous demande grâce pour nous. Puis-je donc être sans espérance ? Oh ! non, ma foi et ma confiance sont entières, mon Dieu, j’attends tout de votre clémence et de votre bonté. Ah! que je ne sois point trompée dans mon espoir. Je vous en supplie, Père des miséricordes, toujours au nom et par les mérites de Jésus-Christ Notre Seigneur. Amen. »
Mère Marie-Joseph de la Miséricorde (Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé, 1757-1824)
Extrait de "Prières de la Famille de France", Association Clarté Saint-Jean, 2 mai 1994.
Source : CRIL 17 INFO. -
Dimanche 7 juillet 2013
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Dimanche 30 juin 2013
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Dimanche 23 juin 2013
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Dimanche 16 juin 2013
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Dimanche 9 juin 2013
En certains lieux : Solennité de la Fête du Sacré-Coeur
Calendrier liturgique -
Dimanche 18 novembre : 33ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel :
25ème Dimanche après la Pentecôte :
6ème dimanche restant après l’Épiphanie transféré -
32ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel : 24ème dimanche après la Pentecôte
(5ème dimanche restant après l’Épiphanie transféré)
(On ne fait rien cette année de St Martin, évêque et confesseur et de la Mémoire de St Menne, martyr) -
4 novembre : 31ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel : 23ème dimanche après la Pentecôte
(On ne fait rien cette année de St Charles Borromée, évêque et confesseur
et de la Mémoire de Sts Vital et Agricola, Martyrs) -
28 octobre : 30ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel : Le Christ-Roi
(Fête déplacée par la réforme de 1969 au dernier dimanche de novembre)
(On ne fait rien cette année des Sts Simon et Jude, apôtres)
Hymne des Vêpres de la Fête du Christ RoiInterprétée par les Filles de Marie
Te sæculórum Príncipem,
Te, Christe, Regem géntium,
Te méntium, te córdium
Unum fatémur árbitrum.
C’est toi, Prince des siècles,
C’est toi, Christ, roi des Nations,
C’est toi que nous reconnaissons
Pour l’unique arbitre des esprits et des cœurs.
Scelésta turba clámitat:
Regnáre Christum nólumus;
Te nos ovántes ómnium
Regem suprémum dícimus.
Une foule criminelle crie:
Nous ne voulons pas que le Christ règne;
C’est toi que nous, avec transport,
Nous proclamons Roi suprême de tous.
O Christe, Princeps Pácifer,
Mentes rebélles súbice,
Tuóque amóre dévios
Ovíle in unum cóngrega.
O Christ, Prince qui portes la paix,
Soumets les esprits rebelles,
Et ceux qui loin de ton amour s’égarent,
Rassemble-les dans l’unique bercail.
Ad hoc cruénta ab árbore
Pendes apértis brácchiis,
diráque fossum cúspide
Cor igne flagrans éxhibes.
C’est pour cela que, bras ouverts,
Tu pends à l’arbre sanglant,
Et que tu montres ton cœur brûlant d’amour
Transpercé par la lance cruelle.
Ad hoc in aris ábderis
Vini dapísque imágine,
Fundens salútem fíliis
Transverberáto péctore.
C’est pour cela que sur les autels
Tu te caches sous la figure du vin et du pain,
Versant, de ton cœur transpercé,
Le salut à tes fils.
Te natiónum praesides
Honóre tollant público,
Colant magístri, iúdices,
Leges et artes éxprimant.
A toi, que les chefs des nations
Rendent les honneurs publics;
Que te confessent maîtres et juges,
Que lois et arts portent ton empreinte.
Submíssa regum fúlgeant
Tibi dicáta insígnia:
Mitíque sceptro pátriam
Domósque subde cívium.
Que, soumis, les insignes des rois brillent,
A toi consacrés;
A ton doux sceptre soumets la patrie
Et les demeures des citoyens.
Jesu tibi sit gloria,
Qui sceptra mundi temperas,
Cum Patre et almo Spiritu,
In sempiterna sæcula. Amen.
O Jésus à vous soit la gloire,
Qui gouvernez les sceptres du monde,
Comme au Père et à l'Esprit Saint,
Dans les siècles éternels. Ainsi soit-il.
Source traducton : Notre-Dame des Neiges.
Acte de consécration du genre humain au Sacré-Coeur du Christ-Roi prescrit pour cette fête -
21 octobre : 29ème dimanche du temps ordinaire
Journée de la mission universelle de l'Eglise
Journée Missionnaire Mondiale 2012 : « Appelés à faire resplendir la Parole de vérité »
« "Les hommes qui attendent le Christ sont encore en nombre incalculable" affirmait le Bienheureux Jean-Paul II dans son Encyclique Redemptoris missio à propos de la validité permanente du mandat missionnaire. Et il ajoutait : "Nous ne pouvons pas avoir l'esprit tranquille en pensant aux millions de nos frères et sœurs, rachetés eux aussi par le sang du Christ, qui vivent dans l'ignorance de l'amour de Dieu" (n. 86). Moi aussi, en convoquant l’Année de la Foi, j’ai écrit que le Christ "aujourd’hui comme alors, nous envoie par les routes du monde pour proclamer son Évangile à tous les peuples de la terre" (Lettre Apostolique Porta fidei, n. 7). Proclamation qui, comme l’indiquait également le Serviteur de Dieu Paul VI dans l’Exhortation apostolique Evangelii nuntiandi, "n’est pas pour l’Église une contribution facultative : c’est le devoir qui lui incombe, par mandat du Seigneur Jésus, afin que les hommes puissent croire et être sauvés. Oui, ce message est nécessaire. Il est unique. Il ne saurait être remplacé" (n. 5). Nous avons donc besoin de retrouver le même élan apostolique des premières communautés chrétiennes qui, petites et sans défense, furent capables, par l’annonce et le témoignage, de diffuser l’Évangile dans l’ensemble du monde alors connu.
[...]
"Malheur à moi si je n'annonçais pas l'Évangile !", disait l’Apôtre Paul (1 Co 9, 16). Cette parole résonne avec force pour tout chrétien et pour toute communauté chrétienne sur tous les continents. Même pour les Églises se trouvant dans les territoires de mission, Églises pour la plupart jeunes, souvent de fondation récente, le caractère missionnaire est devenu une dimension naturelle même si elles-mêmes ont encore besoin de missionnaires. De nombreux prêtres, religieux et religieuses de toutes les parties du monde, de nombreux laïcs et même des familles entières quittent leurs pays, leurs communautés locales et se rendent auprès d’autres Églises pour témoigner et annoncer le Nom du Christ grâce auquel l’humanité trouve le salut. Il s’agit d’une expression de profonde communion, de partage et de charité entre les Églises afin que tout homme puisse écouter ou réécouter l’annonce qui guérit et s’approcher des Sacrements, source de la vraie vie. »
Benoît XVI, Extrait du Message pour la Journée Missionnaire Mondiale 2012 (donné le 6 janvier 2012).
Texte intégral sur le site internet du Vatican.Au calendrier traditionnel : 21ème Dimanche après la Pentecôte
Dimanche des Missions :
On rajoute les Oraisons pour la Propagation de la Foi,
ou on dit la Messe Votive pour la Propagation de la Foi -
14 octobre : 28ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel :
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7 octobre : 27ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel : 19ème Dimanche après la Pentecôte
Solennité de Notre-Dame du RosaireLa fête de Notre-Dame du Rosaire fut instituée par Sa Sainteté le Pape Saint Pie V en la fête de "Notre-Dame de la Victoire" (1572) au Premier Dimanche d'Octobre, en action de grâces pour la Victoire de Lépante où, à l'entrée du golfe de Corinthe, la flotte chrétienne fournie par le Saint-Siège, l'Espagne, Venise, la Savoie, Mantoue, Ferrare, Gênes et Lucques, sous le commandement de Don Juan d'Autriche, avait écrasé la flotte turque d'Ali Pacha (7 octobre 1571). C'est à cette occasion qu'on ajouta aux litanies de la Sainte Vierge l'invocation "Secours des Chrétiens, priez pour nous !". Grégoire XIII qui attribuait la victoire de Lépante aux processions faites à Rome par les confréries du Saint-Rosaire, changea la fête de "Notre-Dame de la Victoire" en celle du "Saint Rosaire" et la fixa au Premier Dimanche d'Octobre (1573) ; elle ne fut alors obligatoire que pour les églises romaines qui possédaient une chapelle ou une confrérie du Saint-Rosaire. Clément X concéda cette fête à l'Espagne (1671) avant que Clément XI l'étendît à l'Eglise universelle et l'élevât au rit double-majeur (1716), célébrée le jour de l'octave de la Solennité de l'Assomption, à la suite de la victoire de Peterwaradin que le prince Eugène de Savoie avait remportée sur les Turcs (5 août 1716). Léon XIII en fit une fête de seconde classe et adopta l'office et le propre de la messe en usage chez les Dominicains (1887). Il ajouta aux Litanies de Lorette l'invocation "Reine du Très Saint Rosaire". Saint Pie X fixa la fête au 7 octobre (1913).
La réforme de Jean XXIII en a changé l’intitulé : au lieu de la fête du Très Saint Rosaire, il est désormais fête de Notre-Dame du Rosaire.
Source : Notre-Dame des NeigesSur notre site : Les Papes et le Saint Rosaire
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9 septembre : 23ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel :
15ème Dimanche après la Pentecôte
(On ne fait rien cette année de la Mémoire de St Gorgon, martyr) -
2 septembre : 22ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel :
14ème Dimanche après la Pentecôte
(On ne fait rien cette année de St Etienne, roi, confesseur)
Les Bienheureux Martyrs de Septembre, victimes de la Révolution française († 1792)
(Parmi les 3000 victimes de septembre 1792, 191 personnes mortes pour leur foi ont été béatifiées par Pie XI le 17 octobre 1926.)Introduction du Décret du Saint Siège :
« On ne pourra jamais assez déplorer ce noir et misérable fléau qui, à la fin du XVIIIe siècle, caché sous le nom mensonger de philosophie, avait perverti les esprits et corrompu les mœurs, et rempli avant tout la France de meurtres et de ruines.
L’âme est émue d’horreur au souvenir des inexprimables spectacles de cruauté et de barbarie qu’exhibèrent, pendant la révolution française, des hommes impies et scélérats, à peine dignes de ce nom d’hommes : les temples sacrés dépeuplés, les signes sacrés de la religion catholique violés, des évêques, des prêtres, de pieux laïques immolés arbitrairement, pour avoir refusé de prononcer une formule de serment décrétée par la puissance laïque et ouvertement opposée aux droits de l’Eglise, à la liberté de la conscience, ou pour s’être montrés moins bienveillants envers ces nouvelles institutions politiques. »
Source et texte intégral : Blog du Mesnil-Marie -
26 août : 21ème dimanche du temps ordinaire
Au calendrier traditionnel :
13ème Dimanche après la Pentecôte
(On ne fait rien cette année de la Mémoire de St Zéphyrin, pape et martyr)